Un photographe au musée
Cartels : Dionysos / Bacchus et son entourage
Coupe à figures noires Œuvre attique attribuée au Peintre de Chiusi, vers 520 av. J.-C. Diam. : 34,6 cm. |
Intérieur : Gorgone et vendanges Centre : image apotropaïque de la Gorgone grimaçant et tirant la langue. Bordure : Satyres et Ménades vendangeant sous les yeux de Dionysos monté sur son mulet. (Revers : Dionysos en char et son thiase). |
Amphore pointue à figures rouges, Trouvée en Italie méridionale H. : 61,9 cm (amphore), 14,9 cm (support) |
Thiase dionysiaque Dionysos (peau de panthère), deux Satyres et huit Ménades évoluent au son de la double flûte et du tambourin. L’une d’elles brandit un faon qu’elle a déchiré dans son délire extatique. |
Statuette en terre cuite polychrome (traces de bleu) Œuvre d’Italie méridionale H. : 29 cm. |
Ménade dansant La peau de bête nouée sur l’épaule de cette danseuse l’identifie à l’une des Ménades. Ces femmes de l’entourage de Dionysos dansent dans un état d’ivresse extatique. |
Vase plastique : canthare à figures rouges Œuvre apulienne, attribuée au Groupe du Pédagogue, 340-320 av. J.-C. H. : 18,5 cm. |
Sujets dionysiaques Ce vase à boire le vin réunit les visages en relief d’un Satyre aux oreilles animales couronné de lierre et d’une Ménade, un bacchant et une bacchante peints associés à une phiale, un thyrse et un tambourin. |
Assiette à figures rouges Atelier attique Diam. : 19,2 cm. |
Satyre à la flûte Couronné de lierre, le Satyre tient les deux tuyaux de sa flûte (aulos). À son sexe en érection sont suspendus l’étui à deux poches et la boîte à anches. En lettres rouges, la signature du peintre, Epiktétos. |
Fragment de relief architectural en terre cuite (« plaque Campana ») Réalisé en Italie, H. : 25,5 cm. |
Silène et Amour enlacés La musculature du vieux Silène couronné de lierre contraste avec la silhouette juvénile de l’Amour. Les ailes de ce dernier, tout comme les poils sur le bas-ventre du Silène, sont traités avec soin. |
Intaille en sardoine rubanée Œuvre d’époque romaine H. : 2 cm. |
Supplice de Marsyas Apollon, que l’on identifie à sa couronne radiée, aiguise son couteau sur une pierre : il s’apprête à écorcher vif le Satyre, châtié pour avoir prétendu que le son de sa flûte était supérieur à celui de la lyre du dieu. |